Organes: Myélomes - Le promoteur: Janssen
Janssen MAJ Il y a 4 ans

Étude COLUMBA : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du daratumumab administré par voie intraveineuse à celle du daratumumab co-formulé avec la hyaluronidase humaine recombinante PH20 par voie sous cutanée chez des patients ayant un myélome multiple. [essai clos aux inclusions] Le myélome multiple est une maladie de la moelle osseuse caractérisée par la multiplication dans la moelle osseuse d’un plasmocyte anormal. Le rôle des plasmocytes est de produire les anticorps (immunoglobulines) dont l’organisme a besoin pour se défendre contre les infections. Cette maladie peut engendrer un affaiblissement du système immunitaire, une production diminuée de cellules sanguines, une destruction osseuse et une insuffisance rénale. Le daratumumab est un anticorps ciblant une molécule (CD38) produite en grande quantité par les cellules du myélome multiple. Des études précliniques ont par ailleurs montré que le daratumumab peut induire la mort de ces cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du daratumumab administré en sous cutané (SC) avec celle du daratumumab par voie intraveineuse (IV) chez des patients ayant un myélome multiple. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes. Les patients du premier groupe recevront du daratumumab co-formulé avec la hyaluronidase en SC 1 fois par semaine lors des cures 1 et 2, 1 fois toutes les 2 semaines lors des cures 3 à 6, puis 1 fois toutes les 4 semaines à partir de la cure 7. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines et jusqu’à progression ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du daratumumab en IV 1 fois par semaine lors des cures 1 et 2, 1 fois toutes les 2 semaines lors des cures 3 à 6, puis 1 fois toutes les 4 semaines à partir de la cure 7. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines et jusqu’à progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 3 ans.

Essai clos aux inclusions
Janssen MAJ Il y a 4 ans

Étude AQUILA : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du daratumumab avec celle d’un suivi actif chez des patients ayant un myélome multiple indolent. [essai clos aux inclusions] Le myélome multiple est une maladie de la moelle osseuse caractérisée par la multiplication dans la moelle osseuse d’un plasmocyte anormal. Le rôle des plasmocytes est de produire les anticorps (immunoglobulines) dont l’organisme a besoin pour se défendre contre les infections. Cette maladie peut engendrer un système immunitaire affaibli, une production de cellules sanguines diminuée, une destruction osseuse et une insuffisance rénale. Le myélome multiple latent (indolent) est aussi appelé myélome asymptomatique puisqu’il n’engendre pas du tout de symptômes. Le daratumumab est un anticorps dirigé contre une protéine produite en quantité anormalement élevée sur les plasmocytes tumoraux qui a montré dans les études précédentes une capacité à induire la mort de ces cellules. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du daratumumab avec celle d’un suivi actif chez des patients ayant un myélome multiple indolent. Les patients sont répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront une surveillance active sans traitement à l’étude. Les patients du 2ème groupe recevront du daratumumab une fois par semaine pendant les 2 premières cures, une fois toutes les 2 semaines de la troisième à la sixième cure et tous les mois pour les cures suivantes. Le traitement sera répété tous les 28 jours pendant 39 cures ou 36 mois maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 8 ans maximum.

Essai clos aux inclusions
Janssen MAJ Il y a 6 ans

Étude COLUMBA : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du daratumumab administré par voie intraveineuse à celle du daratumumab co-formulé avec la hyaluronidase humaine recombinante PH20 par voie sous cutanée chez des patients ayant un myélome multiple. Le myélome multiple est une maladie de la moelle osseuse caractérisée par la multiplication dans la moelle osseuse d’un plasmocyte anormal. Le rôle des plasmocytes est de produire les anticorps (immunoglobulines) dont l’organisme a besoin pour se défendre contre les infections. Cette maladie peut engendrer un affaiblissement du système immunitaire, une production diminuée de cellules sanguines, une destruction osseuse et une insuffisance rénale. Le daratumumab est un anticorps ciblant une molécule (CD38) produite en grande quantité par les cellules du myélome multiple. Des études précliniques ont par ailleurs montré que le daratumumab peut induire la mort de ces cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du daratumumab administré en sous cutané (SC) avec celle du daratumumab par voie intraveineuse (IV) chez des patients ayant un myélome multiple. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes. Les patients du premier groupe recevront du daratumumab co-formulé avec la hyaluronidase en SC 1 fois par semaine lors des cures 1 et 2, 1 fois toutes les 2 semaines lors des cures 3 à 6, puis 1 fois toutes les 4 semaines à partir de la cure 7. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines et jusqu’à progression ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du daratumumab en IV 1 fois par semaine lors des cures 1 et 2, 1 fois toutes les 2 semaines lors des cures 3 à 6, puis 1 fois toutes les 4 semaines à partir de la cure 7. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines et jusqu’à progression ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 3 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Janssen MAJ Il y a 5 ans

Étude AQUILA : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du daratumumab avec celle d’un suivi actif chez des patients ayant un myélome multiple indolent. Le myélome multiple est une maladie de la moelle osseuse caractérisée par la multiplication dans la moelle osseuse d’un plasmocyte anormal. Le rôle des plasmocytes est de produire les anticorps (immunoglobulines) dont l’organisme a besoin pour se défendre contre les infections. Cette maladie peut engendrer un système immunitaire affaibli, une production de cellules sanguines diminuée, une destruction osseuse et une insuffisance rénale. Le myélome multiple latent (indolent) est aussi appelé myélome asymptomatique puisqu’il n’engendre pas du tout de symptômes. Le daratumumab est un anticorps dirigé contre une protéine produite en quantité anormalement élevée sur les plasmocytes tumoraux qui a montré dans les études précédentes une capacité à induire la mort de ces cellules. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du daratumumab avec celle d’un suivi actif chez des patients ayant un myélome multiple indolent. Les patients sont répartis de façon aléatoire en 2 groupes : Les patients du 1er groupe recevront une surveillance active sans traitement à l’étude. Les patients du 2ème groupe recevront du daratumumab une fois par semaine pendant les 2 premières cures, une fois toutes les 2 semaines de la troisième à la sixième cure et tous les mois pour les cures suivantes. Le traitement sera répété tous les 28 jours pendant 39 cures ou 36 mois maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 8 ans maximum.

Essai ouvert aux inclusions
Janssen MAJ Il y a 4 ans

Étude PLEIADES : étude de phase 2 évaluant l’efficacité du daratumumab en association avec des traitements standards de référence chez des patients ayant un myélome multiple. Le myélome multiple est une maladie de la moelle osseuse caractérisée par la multiplication dans la moelle osseuse d’un plasmocyte anormal. Le rôle des plasmocytes est de produire les anticorps (immunoglobulines) dont l’organisme a besoin pour se défendre contre les infections. Cette maladie peut engendrer un système immunitaire affaibli, une production de cellules sanguines diminuée, une destruction osseuse et une insuffisance rénale. Le daratumumab est un anticorps dirigé contre une protéine produite en quantité anormalement élevée sur les plasmocytes tumoraux qui a montré dans les études précédentes une capacité à induire la mort de ces cellules. Le bortézomib et le lénalidomide sont des traitements anticancéreux ayant déjà montré une efficacité significative chez des patients ayant un myélome en induisant la mort des cellules cancéreuses. Le melphalan est un traitement de chimiothérapie induisant une toxicité sur l’ADN des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du daratumumab en association avec des traitements standards de référence chez des patients ayant un myélome multiple. Les patients seront répartis en 3 groupes : Les patients du premier groupe recevront du daratumumab toutes les semaines pendant les 3 premières cures puis le premier jour de la quatrième cure, associé à du bortézomib 2 fois par semaine pendant les 2 premières semaines de chaque cure et à du lénalidomide tous les jours pendant les 2 premières semaines de chaque cure. Le traitement sera répété tous les 21 jours pendant 4 cures maximum ou jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du daratumumab 1 fois par semaine pendant 6 semaines lors de la cure 1, puis toutes les 3 semaines de la cure 2 à la cure 9, puis le premier jour de chaque cure à partir de la dixième cure, en association avec du bortézomib administré 2 fois par semaine pendant 4 semaines, puis 1 fois par semaine de la cure 2 à la cure 9, et du melphalan pendant les 4 premiers jours de la cure 1 à la cure 9. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du troisième groupe recevront du daratumumab toutes les semaines pendant les 4 premières semaines des 2 première cures puis le premier jour et le quinzième jour de la troisième à la sixième cure, puis le premier jour de chaque cure à partir de la septième cure, associé à du lénalidomide pendant les 3 premières semaines de chaque cure. Le traitement sera répété jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 2 ans et demi maximum.

Essai ouvert aux inclusions
Janssen MAJ Il y a 4 ans

Etude 54767414MMY3019 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité d’un traitement dit D-VRd, associant le daratumumab à une chimiothérapie de type VRd (bortezomib, lénalidomide et dexaméthasone) par rapport à une chimiothérapie de type VRd seule, chez des patients ayant un myélome multiple nouvellement diagnostiqué et pour lesquels une greffe de cellules souches hématopoïétiques n’est pas envisagée comme traitement de première intention. Le myélome multiple est une maladie de la moelle osseuse caractérisée par la multiplication dans la moelle osseuse d’un plasmocyte anormal. Le rôle des plasmocytes est de produire les anticorps (immunoglobulines) dont l’organisme a besoin pour se défendre contre les infections. Il s’en suit un affaiblissement du système immunitaire associé à une diminution de la production de cellules sanguines, à une destruction osseuse et à une insuffisance rénale. Le traitement de référence de la plupart des patients ayant un myélome multiple est une thérapie ciblée, une chimiothérapie, ainsi qu’une radiothérapie. Ces 2 types de traitements peuvent être ou non associé à une greffe de cellules souches ou à des traitements de soutient. Le daratumumab est un anticorps monoclonal dirigé contre une molécule présente à la surface des cellules cancéreuses, le CD38. Ce traitement permet de renforcer le système immunitaire dans la lutte contre les cellules cancéreuses et contribue à la mort de ces dernières. Le bortézomib est un inhibiteur de protéasome. Le protéasome est un complexe protéique qui dégrade certaines protéines spécifiques. En empêchant le renouvellement de certaines protéines à l’intérieur de la cellule, le bortézomib entraine finalement la mort de la cellule cancéreuse. Le lénalidomide est inhibiteur de la prolifération de certaines cellules cancéreuses qui empêche leurs migrations. La dexaméthasone est anti-inflammatoire qui entraine également la mort de cellules cancéreuses. Elle permet de soulager certaines douleurs et symptômes provoqués par le myélome multiple. L’objectif de cette étude est de comparant l’efficacité du daratumumab associé à une chimiothérapie de type VRd (bortézomib, lénalidomide et dexaméthasone) soit D-VRd à une chimiothérapie de type VRd seule chez des patients ayant un myélome multiple nouvellement diagnostiqué et pour lesquels une greffe de cellules souches hématopoïétiques n’est pas envisagée comme traitement de première intention. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront une chimiothérapie de type VRd comprenant du bortézomib, du lénalidomide et de la dexaméthasone. * Le bortézomib est administré 2 fois par semaine pendant 2 semaines, répété toutes les 3 semaines jusqu’à 8 fois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. * Le lénalidomide est administré tous les jours pendant 14 jours, répété toutes les 4 semaines jusqu’à 8 fois, puis pendant 3 semaines consécutifs lors de la cure 9, en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. * La dexaméthasone est administré 4 fois par semaines pendant 2 semaines, répété toutes les 4 semaines jusqu’à 8 fois, puis 1 fois par semaine pendant 4 semaines lors de cure 9, en l’absence de progression d’intolérance au traitement. Puis les patients recevront du lénalidomide associé à de la dexaméthasone, répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2e groupe recevront une chimiothérapie de type VRd comme dans le 1er groupe associé à du daratumab 1 fois par semaine lors des cures 1 et 2, puis toutes les 3 semaines lors des cures 3 à 8, puis toutes les 4 semaines à partir de la cure 9. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Puis les patients recevront du daratumab associé à du lénalidomide et à de la dexaméthasone. Le traitement sera répété toutes les 4 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus régulièrement. Le bilan de suivi comprendra notamment un électrocardiogramme, une radiographie pulmonaire ou un scanner thoracique, un test de fonction pulmonaire. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 2,5 ans après le début de la participation à l’étude.

Essai ouvert aux inclusions